« Souvent femme varie, bien fol qui s’y fie ! » disait le roi de France François I, grand connaisseur de la gente féminine. A l’époque, il n’y avait pas de camisole chimique contraceptive pour lisser les humeurs féminines en supprimant le cycle hormonal et les femmes étaient soit prépubères, soit ménopausées, soit cycliques.
Prépubère, la fillette n’est pas encore entrée dans le temps des femmes : elle est en construction et va y arriver progressivement. La mise en place de la puberté va débuter généralement 2 à 3 ans avant que les premières lunes ne l’amènent dans le temps féminin. Et il lui faudra souvent encore 4 ans pour y être totalement.
Ménopausée, sans cycle depuis un an, la femme devient sage : elle est affranchie de la roue du temps et est capable de passer à travers toutes les énergies sur la même journée.
Cyclique, la femme apprend (et son entourage aussi d’ailleurs…) Certes mais elle apprend quoi ? Elle apprend à écouter son corps, à observer ses humeurs, à se relier à sa féminité, à gérer l’énergie qui monte et qui descend, à connaître les archétypes qui la guident et se manifestent différemment.
Ces points, je les découvre chaque mois un peu plus dans ma vie de femme et dans ma vie de professionnelle (j’ai des habitudes « zen » !) J’y reviens pour aider à les travailler dans mon ouvrage « la Nature sacrée de la Femme » à paraître le 30 octobre chez Rustica. Il est déjà en précommande ici et là (dans toutes les autres bonnes librairies !)
Pour illustrer de vive voix mon propos, je vous propose de revoir cette interview que j’ai donnée en août 2018. Vous comprendrez pourquoi j’aime la symptothermie qui facilite l’ancrage dans le corps avant d’aller explorer les autres facettes plus subtiles de la féminité !